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PERSONNAGES

Les Personnages marquants...

En plus de sa riche histoire et de son patrimoine naturel, Poulangy possède également un patrimoine humain qui mérite d'être mis en lumière. Bien que cette commune de Haute Marne ne soit pas réputée pour les personnalités qui y soient nées ou qui y ont vécu, le village a abrité un certain nombre d'individus remarquables ayant acquis, de leur temps ou avec le temps, une reconnaissance locale, nationale voire même atteindre les sommets de la renommée mondiale.

La véracité des plus anciennes biographies manque de certitude. Certains historiens prétendent que Salaberge d'Alsace, plus connue sous le nom de Sainte-Salaberge, fille du duc de l'Ornois, fut la première fondatrice de l'abbaye de Poulangy. Plus tard, au XIIIe siècle, on retrouve Laurent de Poulangy, qui fut confesseur puis exécuteur testamentaire du Duc Robert II de Bourgogne.

Suivra au XVe siècle, Bertrand DE POULANGY, célèbre compagnon d'armes de Jeanne d'Arc. Au XVIe siècle, ce fut Didier de Brunet, seigneur de Beauvais, Poulangy et Thonnance qui se distingua. Sa correspondance avec Henri de Navarre, qui était alors un roi protestant (futur Henri IV), nous fournit un aperçu des derniers jours de ce seigneur haut-marnais, qui tomba peu après la bataille de Langres en 1589, lorsque les catholiques expulsèrent définitivement la foi réformée de France.

En 1616, Adrienne fut exécutée, devenant ainsi l'une des dernières femmes de France à être condamnée à mort pour sorcellerie. Ce bourg champenois attirait alors des familles influentes, comme en témoigne le passage de Philandre de Vincheguerre, célèbre marin corsaire qui s’illustra avec son père, Jacques, dans la lutte contre l’esclavage chrétien durant les guerres contre les barbaresques. Les Vincheguerre fréquentèrent Poulangy où Charles, neveu et petit-fils, établit la famille après avoir épousé, en 1664, la fille du lieutenant de la prévôté.

A cette époque, l'abbaye de Poulangy connaissait un nouvel essor, accueillant des filles qui provenaient des plus illustres maisons de la noblesse du nord de la France. Parmi ces jeunes femmes se trouvait Renée de Guise-Lorraine, qui exerça les fonctions d'abbesse de Poulangy à une période à laquelle sa sœur Marie était la reine d'Écosse. C'est au sein de cette abbaye royale que Charles Gaspard de la Feuille, alors aumônier, rédigea son ouvrage à succès intitulé « Théologie du cœur et de l’esprit ».

Après la révolution française, le général Michel Durand et son épouse, Sophie-Henriette Cohendet, s'installèrent dans l'une des maisons laissées vacantes par les religieuses. Après le décès de son mari, Sophie-Henriette quitte le village pour occuper le poste de « Première dame » de l'impératrice. À travers ses mémoires, elle a laissé un témoignage, devenu une référence dans les biographies intimistes consacrées à Napoléon Bonaparte.

En 1848, année marquée par l'abolition de l'esclavage, Florine et Marcelin, deux esclaves de Guadeloupe, se voient attribuer comme nom de famille celui de la commune. Bien que cette information ne soit jamais parvenue au village, l'auteur Albert Lepitre interrogeait « L'esclavage en Afrique » dans son livre du même nom. Dernièrement, c’est Freddy Tsimba qui questionne l'esclavage moderne. Cet artiste plasticien montre que les XXe et XXIe siècles ne sont pas en reste. En effet, si d'autres exemples de personnalités étaient nécessaires, on pourrait mentionner qu'en 1988, Albert Zimmermann, un enfant du village, est devenu champion de France de culturisme. La même année, Gratien Maire intégrait l'École de l'air, l'une des neuf plus prestigieuses écoles militaires françaises. Il acheva sa carrière militaire en 2016, au grade de Major général des armées. Le N°2 de l’armée française est aujourd’hui membre titulaire du Conseil général de l'Armement au ministère des Armées.

Bertrand DE POULANGY

Bertrand de POULANGY (Noblesse)

Ce que l’on sait à propos de Bertrand de Poulangy, nous le devons d’abord au pape Calixte III, qui ordonne, en 1455, le procès en révision de Jeanne d’Arc. Bertrand témoigna à Toul, le 3 février 1456. Il déclare avoir environ soixante-trois ans et est qualifié d’écuyer au service du roi. On retrouve son nom déformé à travers d’autres témoignages, comme celui de Gobert Thibaut, écuyer de l'écurie du roi de France, qui confirme son rôle primordial au côté de la pucelle, sous l’appellation « Bertrand Pollichon ». Ces déformations se retrouvent également dans d’autres actes, comme la quittance relative au retour du sacre, daté du 18 octobre 1429, mentionnant « Jehan de Mes et Barthelemy de Poulegny ». L’orthographe de cette époque était principalement phonétique. L’archiviste et historien français, Siméon Luce (1833-1892) proposa de voir la parenté de Bertrand dans un mandement daté 19 octobre 1409, relatif à une lettre de rémission de Charles VI. En effet, la lettre cite "Isabellis, filia Joannis Colin, relicta defuncti ludovici de Pulengy". Cette Isabelle Colin était déjà mentionnée en 1408, dans une affaire d’agression de pèlerin se rendant à Notre-Dame-de-Maxey. Elle y est décrite comme résidente à Vaucouleurs, veuve de Louis de Poulangy, bourgeois de Toul. Bertrand de Poulangy pourrait donc être né vers 1390, peut-être à Toul, dans un milieu bourgeois. Ce qui est sûr en revanche, c’est qu’en mai 1428, âgé d’environ 35 ans, il est au service de Robert de Baudricourt, capitaine de Vaucouleurs. Il a pour serviteur Jean de Honecourt. Avec Jean de Metz et son serviteur Julien, Colet de Vienne, messager du roi et Richard, un archer, ils constituèrent l’équipage qui escortera la Pucelle jusqu’à Chinon. On ne connaît rien de plus sur la vie de Bertrand de Poulangy. Plus tard, le frère aîné de Jeanne d’Arc, Jean du Lys, épousa Anne de Villebresme, dont il eut une fille, Marguerite. Celle-ci épousa Antoine de Brunet dont elle eut trois enfants : deux moururent sans descendance ; le troisième, Jean, épousa en 1519 Catherine de Thiville. En 1532, Didier de Brunet épouse Nicole de Saucières, Dame de Thonnance les-Moulins. Dans une lettre d’Henri IV, ce Didier de Brunet y est dit Seigneur de Beauvais, Poulangy et Thonnance. La famille se réclamait descendant de Bertrand de Poulangy. Cette dernière résidera d’ailleurs dans la maison forte de Poulangy jusqu’au environ de 1588, où elle est fut chassé en raison de son adhésion au calvinisme ; année où la seigneurie fut vendue au profit de l’abbaye.

Renée DE LORRAINE-GUISE

Renée DE LORRAINE-GUISE (Religieuse)

Renée de Lorraine-Guise est la fille de Claude de Lorraine et de son épouse Antoinette de Bourbon. Elle est la quatrième des 12 enfants du couple. Et la troisième des filles.

➢ Son père, Claude, est le fils puîné de René II, duc de Lorraine et reçoit, après sa mort, les possessions françaises de son père. Il devient seigneur de Guise, Joinville, Mayenne, Elbeuf, Aumale et Boves (Comte d’Aumale en 1508 ; de Guise en 1520, puis le 1er duc de Guise en 1528 et Duc d’Aumale en 1547 ; par sa baronnie de Joinville, il est également sénéchal de Champagne).

➢ Sa mère, Antoinette, est la fille de François de Bourbon-Vendôme, descendant à septième génération en ligne masculine du roi Saint-Louis et de Marie de Luxembourg-Saint-Pol. Elle est l'ancêtre commun à de nombreuses dynasties européennes via la maison de Bourbon.

o La sœur aînée de Renée, premier enfant du couple, deviendra reine d’Ecosse (mère de la célèbre Marie Stuart). Son frère aîné, François de Guise, 2e duc de Guise et 1e prince de Joinville est surtout reconnu comme un homme d’État français du XVIe siècle, l'un des meilleurs chefs d'armée du roi Henri II et le principal chef catholique pendant la première guerre de Religion.

 

Par sa naissance, Renée de Lorraine-Guise était en droit d’attendre une position sociale de très haut rang. Elle est née à Joinville en 1522. Alors qu’elle n’a que de 21 ans (ce qui est contraire au concordat de Bologne, signé en 1516, proscrivant qu’une personne âgée de moins de 24 ans ne puisse prendre la tête d’une abbaye) la crosse d’abbatiale de Poulangy lui est confiée en 1543. Pour cela, il fallut limoger Prudence de Mailly, alors abbesse de Poulangy depuis 1538. Bien que le chapitre de Poulangy fût très prestigieux, Renée attendit sa majorité, en 1546, pour échanger sa position avec celle de Marguerite IV de Salazar y Escalante. Cette franco-espagnole restera en position à Poulangy jusqu’à son décès en 1560 ; Quant à Renée de Lorraine-Guise, elle décédera à l’abbaye de Reims, le 3 avril 1602.

Charles Gaspard DE LA FEUILLE

Charles Gaspard DE LA FEUIILLE (Auteur)

Personnages Poulangy

Charles Gaspard Vincent de la Feuille est le troisième enfant de Michel Vincent de la Feuille et de son épouse Nicole Doyen.

➢ Son père était le gentilhomme du marquis Charles Gaspard de Lénoncourt-Blainville, dont la famille comptait parmi les quatre « grands chevaux de Lorraine » à la cour des ducs de Lunéville.

➢ Son frère ainé, Michel Vincent de la Feuille, s’éleva au rang de premier homme de chambre du duc Charles V Léopold de Lorraine. Sa descendance fût anoblie.

➢ Sa sœur, Charlotte (qui devait son prénom à sa marraine Charlotte de Nettancourt, épouse du marquis Charles Gaspard de Lénoncourt Blainville) épousa Charles Antoine Husson qui devint receveur de la saline de Dieuze à la suite de son père et notaire apostolique primat de Lorraine. Sa descendance fût anoblie.

>> En savoir plus sur Charles DE LA FEUILLE

Michel DURAND

Michel DURAND (Militaire)

Michel Durand est le 7ème et dernier enfant de Léonard Durand, sieur des Monneries, avocat en parlement et de son épouse Catherine de LACROZE, dame de Chanet. Il nait le 26 février 1739 à Montmoreau en Dordogne. Rapidement, sa position familiale ne lui laisse gère d’alternatives que celle d’embrasser une carrière militaire. Ainsi, en 1758, âgé de 19 ans, il entre comme dragon au régiment d’Aubigné. Il participera à différentes campagnes où il démontre sa témérité qui l’élèvera au grade de fourrier.

En 1762, à la bataille de Friedberg (Allemagne), il reçut deux coups de sabre à la tête et un à la main gauche qui seront récompensés du grade de maréchal des logis (1763), puis porte guidon (1774) et lieutenant (1786). Deux ans plus tard, il passe quartier-maitre aux dragons de Montmorency. Le comte de Montmorency-Laval élogieux de son zèle demanda qu’il soit décoré Chevalier de l’ordre de Saint-Louis. Rapidement promu capitaine (1792), puis l’année suivante lieutenant-colonel. Si bien, qu’au début de l’année 1793, le Conseil de guerre le mis à la tête d’une garnison de 4 500 hommes en qualité de général du Fort-Vauban (Alsace). Malheureusement pour lui, l’armée Autrichien siégea la place forte (cette bataille aujourd’hui connue comme le « Siège de Fort-Louis ») et se soldera par une défaite de la France.

Il fut fait prisonnier et emmené en Hongrie du 16 novembre 1793 au 24 aout 1795. A 56 ans, après deux années de captivité, ruiné par deux banqueroutes et en disgrâce, il se retira dans le château de la Barde, à Saint-Crépin-de-Richemont, en Dordogne, propriété de son cousin l’avocat Durand de Noaillac. Au printemps 1798, désargenté, il demanda à reprendre du service. Avec le soutien de deux de ses anciens amis (le général Kellermann et le général Desaix), ils soumirent sa demande au ministère des armées du Directoire. Celui-ci renvoya la pétition. Son ami, l’écrivain Defauconpret de Thulus, fit une demande pour que lui soit remis la légion d’honneur…sans suite. Il n’obtint finalement que le traitement de réformé, que l’on attribue normalement à un simple chef de bataillon.

Vers 1799, on ne sait pas exactement par quel hasard, le général Durand acheta la maison qu’avait fait construire Madame de Bollogne dans la grande cour de l’abbaye. Cette dernière avait été occupée jusqu’en 1789 par les sœurs de Gondrecourt et leur nièce. Le général y vécut alors paisiblement. Il se fit même quelques amis tels que Gaspard Michelin, desservant de Poulangy et Charles Descharmes, juge de paix du canton de Nogent, résidant à Marnay-sur-Marne. Malheureusement, au mois d’octobre 1807, leur fille ainée, Sophie-Antoinette-Josèphe meurt en couche. Son épouse se rend immédiatement à Les Mollettes (Savoie) chez son gendre, afin de s’occuper du nourrisson. Quelques jours plus tard, le 8 novembre 1807, le général décède également. Son corps fut inhumé au cimetière du village.

Sophie-Henriette COHENDET

Sophie-Henriette COHENDET
(1ère dame d'honneur de l'Imperatrice)

Sophie-Henriette Cohendet est née le 7 mai 1773 au Cateau-Cambrésis (Nord). Fille de Marie-Joséphine VITRAN et Adam Joseph COHENDET, un officier d'infanterie. En 1786, à 12 ans, elle épouse le lieutenant Michel Durand, de 34 ans son ainé. Rapidement le couple eut trois enfants : deux filles et un fils. Jusqu’en 1793, la famille demeure à Montmorency, puis en Dordogne, lorsque Durand devint général de Fort-Louis.

 

Vers 1800, le couple emménage à Poulangy. Leur fille ainée est âgée de 11 ans, la cadette de 9 ans et le petit dernier n’est encore qu’un nourrisson. Quant au général, il a 60 ans. Il est décrit comme un homme haut aux cheveux et sourcils gris, les yeux roux, le visage plein… Avec une cicatrice marquée sur la tempe droite. Sophie-Henriette n’a que 26 ans. Elle est décrite dans les mémoires du député de Dordogne, comme très belle et bien élevée. En 1803, l’ainée des enfants se marie et donne rapidement naissance à un fils. En 1807, de nouveau enceinte, elle meurt en couche. Le général en succombe quelques jours plus tard. Pour couronner le tout, son gendre l’attaque au tribunal pour récupérer le reste de la dot en mariage. Sophie-Henriette se retrouve veuve, sans fortune, avec deux enfants à charge. Elle n’eut pas d’autres solutions que de vendre Poulangy et de trouver un emploi. Par relation, elle fut rapidement embauchée comme institutrice, au château d’Écouen, un pensionnat de demoiselles réservé aux enfants des membres de la Légion d’honneur.

Lorsque Napoléon constitua une suite à sa nouvelle épouse, l’impératrice Marie-Louise, il s’adressa à Madame Campan, surintendante d’Ecouen et ancienne 1ère femme de chambre de la reine Marie-Antoinette. Cette dernière suggéra Sophie-Henriette, alors âgée de 37 ans, raffinée, éduquée et encore très belle. Début 1810, trois années après avoir quitté Poulangy, Sophie-Henriette et ses deux enfants se retrouvent sous les lustres des Tuileries. Cette même année, elle utilise sa position et ses relations en Haute-Marne, pour marier sa fille. Cette dernière épousera Jean-Jacques Maillard, le fils d’un marchand de Fayl-Billot, dont Sophie-Henriette fera le receveur des Finances des Deux-Sèvres. Rapidement une amitié naquit entre le couple impérial et Sophie Henriette qui était devenu 1ère Dame de l’Impératrice, elle faisait désormais partie des coulisses du pouvoir.

En 1814, année de l’effondrement du 1er empire, elle dut à nouveau se réinventer. En 1819, l’écrivain Defauconpret de Thulus, cherchant à faire un coup littéraire avec l’éditeur Colburn, la persuada de lui passer des anecdotes sur le couple impérial. Le livre fit grand bruit dans la presse, et Sophie-Henriette, soucieuse de laver son honneur, créa sa propre maison d’édition qui publiera la même année « Mes souvenirs sur Napoléon, sa famille et sa cour ». Traduite en Anglais et en Allemand, cet ouvrage deviendra une référence pour toutes les biographies intimistes produites depuis sur Napoléon. Devenue propriétaire d’une entreprise de papeterie, dont les usines étaient localisées à Troyes, Sophie-Henriette décèdera à l’âge de 77 ans, dans sa coquette maison bourgeoise du centre-ville d’Orléans.

Gratien MAIRE

Gratien MAIRE (Militaire)

Gratien Maire est le fils de Jean Maire, dirigeant de la dernière usine poulangeoise et de son épouse Micheline Gagnot. Il est né à Chaumont en 1957. Après une scolarité débutée au village, puis à Nogent et Chaumont, il intègre, à 21 ans, l’École de l’air à Salon-de-Provence. En 1981, il obtient son brevet de pilote de chasse. Affecté sur Mirage F1 CR, il rejoint la 33e escadre sur la base aérienne de Strasbourg. En 1986, il prend le commandement de la 2e escadrille de l’escadron de reconnaissance à Belfort. Chef de brigade à Salon-de-Provence pendant deux ans, Gratien prend en 1991 le commandement de l’escadron de chasse "Normandie-Niémen", qu’il emmène au Tchad pour assurer des missions de défense aérienne. En 1993, il est nommé chef des opérations, puis commandant en second et enfin commandant de l’école de l’aviation de chasse sur la base aérienne de Tours.

 

En 1996, il est sélectionné pour suivre un an de formation à l’Air War College, à Maxwell, en Alabama (États-Unis). L’année suivante, il intègre l’inspection de l’Armée de l’Air, puis l’état-major de l’Armée de l’Air quelques mois plus tard, avant d’être nommé attaché de défense à Ottawa (Canada) de juillet 2000 à fin 2003. Il est nommé ensuite adjoint du chef du cabinet militaire du Premier ministre en juillet 2004 et général de brigade aérienne le 1er septembre 2006. En septembre 2008, il s’envole à nouveau vers les États-Unis pour y occuper la fonction d’attaché de défense près l’ambassade de France à Washington. Il est promu général de division aérienne le 1er septembre 2009. De retour à Paris en août 2011, il occupe le poste d’adjoint de l’inspecteur des armées.

Il totalise 3 100 heures de vols dont 87 en missions de guerre.

 

Elevé aux rang et appellation de général de corps aérien le 1er février 2012, il est nommé sous-chef d’état-major Relations internationales de l’état-major des armées au mois de septembre de la même année. Le 15 février 2014, il est élevé aux rang et appellation de général d’armée aérienne et se voit confier les fonctions de major général des armées, ce qui fait de lui le « Numéro 2 » de l’armée française.

 

Acteur politico-militaire de très haut niveau, participant à la définition des orientations stratégiques des armées, directions et services, il contribue de manière décisive à la réponse nationale, alors que la France est attaquée sur son propre sol en 2015. Il prend sa retraite le 23 septembre 2016.

 

Le 9 janvier 2017, Gratien Maire est nommé directeur général des Aéroports de Paris pole Ingénierie. Depuis le 3 mars 2020, il est membre titulaire du Conseil général de l'Armement du ministère des Armées en tant que « personnalité qualifiée ».

A la une cette année : Détente, histoire, relaxation, découverte…

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